Une menace a pesé sur plus de 7000 emplois pendant de longs mois l’été 2014 du côté de la ville du New Jersey. Ce qui a provoqué également un véritable séisme dans l’univers économique. Mais ce qu’on ne sait pas forcément, c’est qu’une des victimes de cette chute de l’empire des jeux a été ni plus ni moins que l’actuel et nouveau président des états Unis, Donald Trump.
En effet, Atlantinc City, fantastique et immense terrain de jeu de la côte Est des États-Unis est très certainement, encore à ce jour, la ville américaine qui accueille le plus de joueurs après Las Vegas ! Ce qui ne l’a pas empêché cependant de subir une crise sans précédent. Trois des plus grands casinos de la ville parmi plus d’une dizaine d’établissements, ont dû mettre la clé sous la porte, provoquant au travers de ces fermetures, d’innombrables dommages collatéraux et une hausse du taux de chômage local. La ville subit encore à ce jour le contrecoup de ces nombreux licenciements dans le New Jersey et l’effondrement de ce secteur des casinos.
Après 27 ans d’existence, le ShowBoat a fermé ses portes
En effet, c’est le 31 août 2014 que ce gigantesque casino appartenant à Harrah’s Entertainment, a mis la clé sous la porte. Il comptait pas moins de 755 chambres et 25 étages. Sa construction s’ était achevée en 1987 et il était totalement bâti sur le thème de La Nouvelle-Orléans. Il faut croire que tout cela ne lui a pas porté chance puisque cet établissement à dû laisser plus de 2000 salariés sans emplois.
Donald Trump a subi un échec avant de siéger à la présidence
Il fait la une des médias depuis quelques semaines, grâce à son élection au siège de la présidence des États-Unis d’Amérique, mais il n’en reste pas moins que Mr Trump, le milliardaire aux nombreuses affaires, à subit également cette crise de plein fouet au travers de la fermeture du Trump Plaza qu’il détenait depuis de nombreuses années, venant faire grossir le taux de chômage au travers des 1000 employés licenciés de force à cause de cette fermeture.
Un effet papillon dans le monde du casino
Une économiste américaine, du nom de Deborah Figart, a réalisé une étude sur Atlantic City en déclenchant en quelque sorte une alerte sur un possible «effet papillon» dû aux fermetures de ces grands casinos. Et elle ne s’est pas trompée puisqu’on suivit ensuite, embarqué dans cette épidémie, les fermetures de l’Atlantic Club en janvier et en laissant 1600 travailleurs sur le carreau. Cette économiste ira jusqu’à dévoiler dans un journal de presse local du New Jersey que cette crise allait faire très mal en touchant en premier lieu le nord du New Jersey puis le reste du pays. Il devient alors urgent pour de nombreux établissements de trouver de nouveaux repreneurs pour renflouer les caisses, afin de ne pas ajouter de milliers de nouveaux chômeurs aux statistiques régionales.
